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9 fĂ©vrier 2025, J+57. La derniĂšre fois que jâai atterri Ă Dzaoudzi, câĂ©tait bizarrement le jour de mon dĂ©part dĂ©finitif de Mayotte aprĂšs trois annĂ©es intenses, qui Ă©taient les premiĂšres de ma vie dâurbaniste. Un faux dĂ©part en fait. Lâexplosion dâun des deux rĂ©acteurs
Mayotte
Le 14 dĂ©cembre, quelques heures aprĂšs le passage de Chido, nous retrouvons nos maisons inondĂ©es, Ă©ventrĂ©es, leurs toitures dispersĂ©es comme des feuilles mortes. Dans nos rues, sur nos places publiques, un nouveau paysage sâest dessinĂ©Â : ici la tĂŽle du voisin, lĂ -bas une charpente mĂ©connaissable. Les troncs massifs, dĂ©racinĂ©s par
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Câest un lundi qui sâannonce encore pluvieux, ce 5 novembre 2018. Son grand fils Imane est parti au travail bien avant le lever du soleil, et Ouloume Said Hassani vient de dĂ©poser son petit dernier El-Amine Ă lâĂ©cole. Elle doit repasser chez elle pour prendre des papiers,
Analyses
Faut-il toujours mettre aux normes, quitte à repousser plus loin des populations déjà précarisées ?
RĂ©cits
La Case Sim, objet social et urbain de Mayotte.