Entretiens
Work #1
Dans le quartier de Lyon Confluence, Work #1 est un immeuble accueillant bureaux et ERP conçu pour ĂȘtre rĂ©versible en logements, anticipant la disparition Ă terme de la voie rapide situĂ©e Ă proximitĂ©.
Entretiens
Dans le quartier de Lyon Confluence, Work #1 est un immeuble accueillant bureaux et ERP conçu pour ĂȘtre rĂ©versible en logements, anticipant la disparition Ă terme de la voie rapide situĂ©e Ă proximitĂ©.
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Câest une solution plus performante que la construction dâun bĂątiment passif, plus efficace quâun changement de chaudiĂšre et plus sobre que de baisser le thermostat. Elle est lĂ©gĂšre, pas chĂšre, rapide Ă dĂ©ployer, consomme fort peu dâĂ©nergie et de matĂ©riaux et nâĂ©met pas de CO2,
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Il y a des Ă©crits fugaces et dâautres qui restent. Mais certains, plus taquins, rebondissent dâĂ©poques en Ă©poque, comme ce texte dâAndrĂ© Gorz publiĂ© dans la revue Le Sauvage en 1973, qui rĂ©sonne particuliĂšrement bien avec les enjeux dâaujourdâhui. La voiture encombre nos bronches, nos
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Depuis un bon demi-siĂšcle, la fabrique de la ville se consacre assidĂ»ment Ă une noble tĂąche : produire du foncier Ă©conomique pour crĂ©er des emplois. Cela consiste Ă manger de la terre agricole â souvent la meilleure â pour amĂ©nager des zones dâactivitĂ© un peu partout sur le territoire. Point dâinquiĂ©tude,
Entretiens
Entretien avec Guillaume Massard, directeur général de la Fondation pour les terrains industriels de GenÚve, acteur du temps long, à la fois aménageur et gestionnaire de l'ensemble des zones industrielles du canton.
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La ZAN nĂ©gocie son atterrissage dans les territoires, et câest compliquĂ©. La ZAN, câest le petit nom de la «âZĂ©ro Artificialisation Netteâ», introduite par la loi Climat RĂ©silience dans le Code de lâUrbanisme il y a un peu plus dâun an. En ce moment, elle occupe
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Nous avons pour habitude de classer nos territoires par taille. Paris dâabord, toujours, puis du plus grand au plus petit. Il y a cette poignĂ©e de mĂ©tropoles qui concentrent le dĂ©veloppement, mais qui dĂ©sormais nâen veulent plus. Puis les villes moyennes qui reprennent manifestement du poil de la
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La ville a toujours Ă©tĂ© parsemĂ©e dâespaces dĂ©laissĂ©s, dans son cĆur comme dans ses franges. Ruines, espaces vacants, bords de routes, friches⊠Câest la face obscure de la ville. Parfois on ne voit quâelle, car elle fait tache dans le paysage. Parfois on feint de lâignorer,
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Câest un de ces petits ouvrages qui se lisent dâune traite. Cela pourrait juste ĂȘtre l'histoire Ă©difiante dâun parisien qui trouve refuge sur lâĂźle de Porquerolles pour Ă©chapper Ă la canicule. Mais câest bien sĂ»r beaucoup plus que cela. Câest moins la
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Et si on rĂ©inventait nos maniĂšres de nous rafraĂźchir ? Et si on alliait confort thermique dâĂ©tĂ© et baisse des Ă©missions des institutions publiques (qui comptent pour 2 tonnes dans notre bilan carbone de âfrançais.e moyen.neâ) ? Comment mĂȘler impĂ©ratif Ă©cologique et justice sociale ? Ce sont les sujets auxquels
RĂ©cits
Bienvenu dans le quartier de Villeneuve, à Grenoble: parc, lac urbain, grands logements... Qu'est-ce que l'on rénove, comment ? Et si on choisissait de garder, quand on ne sait plus faire mieux ?
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PassĂ©e lâannonce de la disparition imminente dâespĂšces emblĂ©matiques, la crise du vivant passe largement sous les radars mĂ©diatiques. Extinctions, baisse des populations, chute de la biodiversitĂ© des mers et des sols⊠la rupture est massive et silencieuse. Nous comptons pourtant au nombre des victimes de cette crise, dont